jueves, 11 de febrero de 2010

Document Radio Sans-Papiers

Les sans-papiers ne sont pas des êtres lointains, des ennemis, mais ce sont nos voisins, nous même pouvons un jour devenir sans-papiers quelquepart. Ecoutons pour mieux comprendre cette vie.

Document audio:
http://www.afriradio.net/audio/PADFrancafrique051209-N19MigrantsETerray.mp3

« Pillés là-bas, chassés ici ! » Le sort fait aux migrants (Emmanuel Terray) - Françafrique n° 19 - Françafrique (émission radio 05 12 09) « Campus fm » 94FM

Type : Conférence

Durée : 54 minutes 25s

Langue : Français

Auteur : Survie 31 - radio campus Toulouse...

Emission liée : Françafrique (émission radio 05 12 09) « Campus fm » 94FM

Evénement lié : « Pillés là-bas, chassés ici ! » Le sort fait aux migrants (Emmanuel Terray)

Date d'enregistrement : 27 décembre 2009

Date de publication : 27 décembre 2009

Régions traitées : Europe International toute l’Afrique

Thématique(s) abordée(s) : Migrations (Droit d’asile, Droit des migrants, Migrant, Réfugié, Sans-papiers, Travailleur migrant) -

Description : Ce mois-ci, Françafrique, l’émission radio de l’association SURVIE MP sur la Françafrique, cette relation particulière de la France avec ses anciennes colonies, reprend l’enregistrement d’une des rencontres organisées sur Toulouse en novembre 2009 pendant la Semaine de la solidarité internationale : "Pillés là-bas, chassés ici ! Le Nord place le sud dans l’impasse". Nous vous proposons ici la réflexion d’Emmanuel Terray, anthropologue et membre du Cercle migrations et libertés, sur le sort fait aux migrants qui viole les principes élémentaires des droits humains... Accompagnement musical de Diaoulé Pemba, une chanteuse haïtienne prometteuse de Toulouse.



La BD en français, ressource pour la classe de FLE

Les BD sont une ressource importante, facile et aimée par les élèves du collège et lycée. En plus, on retrouve en France beaucoup de publications adaptées à tous les goûts, âges et intérêts.
L'hebdomadaire "Nouvel Observateur" propose une section consacrée à la BD dans les pages litéraires.

Actualité BD du Nouvel Observateur

La Educación Secundaria. Algunos apuntes.

En los medios de comunicación (ayer en la Ventana, en la Ser, sin ir más lejos), en la calle, en clase, oímos a expertos hablar de "lo mal que está la educación", sin aportar datos. En nuestras manos está hacer un análisis más serio.


miércoles, 10 de febrero de 2010

I went to Scotland to improve my english and this is what I got

Fiche de lecture 2: L’imagerie de l’histoire


BEAUMONT Émilie, PIMONT Marie-Renée, MISSO Isabella, TOUSSAINT Sophie, ROGNONI Isabelle: L’imagerie de l’histoire, Editions Fleurus, Paris, 1999, 125 pages.

Thématique: histoire, histoire de France.

Ce livre documentaire, conçu pour les 6-12 ans, fait partie d’une très célèbre collection de la maison d’édition Fleurus de Paris; ce format a été décliné dans toutes les variantes thématiques imaginables (dictionnaire bilingue, des animaux, de la nature, de l’espace, de la ville, des métiers, de la mer, des princesses, et bien d’autres) et adapté à des âges différents (bébés, première enfance, écoliers et jeunesse). Aujourd’hui il fait l’objet d’une rénovation formelle et de contenus de la part de la maison d’édition, tel a été son succès.

Il s’agit d’un savant mélange d’encyclopédie illustrée, de bande dessinée et de manuel d’histoire qui reproduit le même schéma dans toutes ses pages: un nombre variable d’images accompagnées de peu de lignes de texte descriptif.

L’imagerie de l’histoire parcourt de manière chronologique l’histoire universelle, centrée sur la France à partir du Moyen Âge, à travers six chapitres, différenciés par le couleur des pages:
  • La Préhistoire,
  • L'Antiquité,
  • Le Moyen Âge,
  • La Renaissance,
  • Henri IV jusqu'à la Révolution Française
  • les XIXe et XXe siècles
Cet ouvrage se veut attrayant et accessible aux très jeunes lecteurs grâce aux illustrations détaillées et colorées, mais aussi très informatives sur la vie le long du temps. Il permet de comprendre la chronologie de l’histoire, les principaux faits et découvertes de chaque période (l’écriture, les croisades, les cathédrales, les guerres du XXe siècle, l’Euro), les personnages historiques (Jeanne d’Arc, Colomb, Marco Polo, Léonard de Vinci, Napoléon), et surtout la vie quotidienne avec un traitement graphique spécialement intéressant pour les maisons (romaine, médiévale) et les villes et villages.

Il s’agit d’une fresque historique exploitable à des âges très différents: un très jeune enfant peut regarder les images pendant qu’un adulte lui lit le texte, les lecteurs débutants peuvent s’y exercer, mais aussi les grands enfants qui le parcourent presque comme une BD, tout en révisant leur lexique. Et pour le compléter, des activités sont proposées au fil des pages.

Nous aurions aimé portant d’y retrouver les peuples de la Mésopotamie, autre que les hébreux, ainsi qu’un peu moins d’éthnocentrisme dans la conception de l’histoire et pas autant de stéréotypes liés aux rôles sexuels: les hommes chassent, font la guerre, sont philosophes ou maçons, tandis que les femmes chantent, s’occupent du foyer ou filent la laine.

Très facile à utiliser en cours de FLE, puisque le texte qui ne présente pas de difficultés de compréhension, est bien éclairci par les illustrations.

Pour apprendre l’histoire à travers les images
Textes et images pour apprendre l’histoire

Fiche de lecture 3: Le racisme expliqué à ma fille

Titre: BEN JELLOUN Tahar: Le racisme expliqué à ma fille. Suivi de “La montée des haines”, Éditions du Seuil, 1998

Thématique: éducation en valeurs civiques, racisme, tollérance

“Je te propose de ne plus utiliser le mot race”

L’écrivain marocain Tahar Ben Jelloun, francophone habitant Paris, publie ce petit livre en 1997, à partir des conversations entretenues avec sa fille Mérième et ses amies, âgées à l’époque de dix ans. Écrit sous forme de dialogue pédagogique, sa lecture reste facile, tout en essayant d’expliquer des concepts abstraits tels que la discrimination, la différence, la xénophobie, les préjugés.

Ben Jelloun poursuit un chemin qu’il avait déjà entrepris avec son essai de 1977 “La plus haute des solitudes”, sur la souffrance des travailleurs immigrés. Même s’il est plus connu par ses romans, on y voit l’attention qu’il porte aux plus démunis, qu’ils soient femmes, étrangers ou enfants. Il nous offre un point de vue originel, d’homme de lettres et de sciences (il est psyquiatre) qui ne renonce pas à ses origines et à sa culture maghrébine, profondément humaniste et à la fois international.

Tel que l’auteur explique dans son préface, il entend lutter contre le racisme à partir de l’éducation des enfants, mais reste très méfiant à l’égard de la possibilité de faire changer d’avis les adultes. Dommage.

Lui même affirme aussi que cet écrit s’adresse aux enfants entre huit et quatorze ans, origine du souci de clarté que l’on y retrouve.

Il définie le racisme comme un comportement qui consiste à manifester du mépris envers des personnes aux caractéristiques physiques et culturelles différentes des nôtres, et en général ce sentiment naît de la peur. À partir de ce terme, il parcourt tout son champ lexique et conceptuel: la différence, l’étranger, la xénophobie, les préjugés, la discrimination, les ghettos, le bouc émissaire, l’extermination. Il propose des explications historiques, le nazisme et l’antisémitisme, le commerce d’esclaves noirs, le rapport entre juifs et arabes, les berbères, le colonialisme, la guerre d’Algérie. Il tente de donner des exemples de racisme et de xénophobie sur des peuples différents, il parle de l’immigration et de l’apartheid.

Même si certaines affirmations peuvent être discutées, de même que l’utilisation du mot “salaud” à l’égard des racistes, le livre ne se prétend pas un traité de philosophie ni d’histoire, mais la transcription d’une conversation, telle que chacun de nous, adulte, devrait avoir avec les enfants qui nous entourent, qu’on soit parents, enseignants ou amis.

Il affirme que pour combattre le rejet, nous devons apprendre à respecter les autres, nous devons avoir de la considération pour les autres et éviter la méfiance. Il dit: “la lutte contre le racisme est un réflexe quotidien”.

Ce livre est suivi d’un annexe sur les lois qui traitent du racisme en France, avec des commentaires aux conférences de M. Ben Jelloun lors de la tournée de présentation de son livre, ainsi que des lettres le soutenant ou pas.

La montée des haines constitue la deuxième partie du livre, écrite sept ans plus tard, où le dialogue avec sa fille continue, cette fois-ci consacré aux rapports conflictuels entre juifs et musulmans en France.

Ce livre est frais, clair et militant et peut se révéler un instrument très valable pour l’éducation en valeurs civiques des adolescents. La simplicité du vocabulaire et la fluidité du dialogue en font un bon recours didactique pour les groupes de FLE.

Si cela vous intéresse:
La page officielle de l’auteur
Interview de l’auteur

Ficha 1 Historia: Ferro y el colonialismo


FERRO, Marc: El libro negro del colonialismo. Del siglo XVI al siglo XXI: De la exterminación al arrepentimiento. Madrid, La esfera de los libros, 2005, 1056 págs.

Este libro fue publicado en Francia seis años después1 de la polémica que provocó El libro negro del comunismo2, que aborda la historia de esta ideología desde el punto de vista de los crímenes cometidos en su nombre. Del mismo modo, El libro negro del colonialismo trata de hacer un inventario de los crímenes que en nombre de la una civilización superior se han cometido fuera del ámbito europeo.

La estructura de ambos es similar: aportaciones desiguales en cuanto a extensión y relevancia de un colectivo de autores. Se trata de obras de caracter sintético; la obra del colonialismo resulta más ambiciosa en cuanto a ámbito geográfico y marco cronológico. Ambas parten de la premisa de que el terror y la represión en ninguno de los dos casos fue algo anecdótico, ni se trata de un momento del pasado histórico, sino que su conocimiento y su denuncia es una exigencia esencial para la memoria.

Esta obra no ofrece una visión histórica contextualizada ni secuencial, y tampoco es un inventario exhausivo del hecho colonizador. Intenta, eso sí, ofrecer una mirada distinta, desde el punto de vista tanto del colonizado como del dominador, de amplio recorrido geográfico (abarca todos los continentes) y cronológico (desde el siglo XVI con la presencia española en América, hasta las consecuencias del fenómeno en nuestros días).

Obra bajo la coordinación de Marc Ferro, director de estudios de la EHESSS3 y codirector de la escuela de Annales; forma parte de la tercera generación de seguidores de Braudel y Lucien Febvre y a pesar de ser originalmente un sovietólogo, había publicado ya monografías sobre la colonización4 y un importante corpus sobre cine e historia. Como Marc Bloch defiende el compromiso social del historiador que él pone en práctica mediante colaboraciones regulares en los medios audiovisuales franceses (ARTE) y dirigiendo obras de la envergadura de la que nos ocupa. El objetivo de la misma está explicitado en el prólogo que firma Marc Ferro.

Entre el grupo de co-autores del libro no hay equilibrio entre colonizados y no colonizados, europeos y extraeuropeos, hombres y mujeres. Se trata de un heterogéneo conjunto de personalidades pertenecientes a diferentes disciplinas: historiadores, pero también étnologos, sociólogos, antropólogos, demógrafos, políticos además de científicos, especialistas en derecho y periodistas. Todo ello enlaza bien con la interdisciplinariedad siempre defendida por Annales para obtener una visión histórica completa.

Para el autor, segun manifiesta en la introducción, el colonialismo adquiere actualidad a la luz de los conflictos de inicios del siglo XXI, el terrorismo internacional, la situación en Oriente Próximo, las guerra africanas y la situación en Afganistán e Irak. El libro trata del exterminio de poblaciones enteras, la trata de esclavos y del trabajo forzado, las ideologías y las obras que apoyaban la superioridad de la civilización del hombre blanco, las mujeres colonizadas y la descolonización. Cierra el libro a modo de epílogo un capítulo sobre la posibilidad y necesidad de reparaciones.

Existe un franco desequilibrio temático, ya que aunque se abordan todos los continentes y gran número de países, resulta evidente que esta obra está dirigida a un público eminentemente francófono, ya que casi la mitad de las páginas y capítulos tratan del mundo francés o afín; todos los autores menos dos son franceses. Incluso en capítulos no directamente relacionados con Francia, aparecen mencionadas sus Antillas.

Marc Ferro se reserva la redacción del prólogo, un capítulo sobre la trata y la esclavitud y dos sobre la presencia francesa en Argelia.
A su prólogo, siguen cinco partes de diferente longitud, “El exterminio” (74 páginas), “La Trata y la esclavitud (40 p.)”, “Dominaciones y Resistencias” (512 p.), “La suerte de las Mujeres” (50 p.), “Representaciones y Discursos” (188 p.) y el mencionado epílogo sobre las reparaciones (31 p.). En cada capítulo y epígrafe hay documentos aportados para ilustrar los temas tratados, que aclaran las diferentes cuestiones. Son abundantes las notas a pie de página con referencias bibliográficas, aclaraciones y extensas explicaciones.

La obra se cierra mediante cuatro valiosos índices, dada la envergadura de la obra; los testimonios y documentos intercalados en el texto, nombres de personajes, de geografía histórica y temático. Termina con una breve presentación de los veintidós autores, agradecimientos y un anexo de bibliografía sobre el tema en castellano para la edición española, preparada por el traductor, Carlo Caranci.

El libro es realmente una sucesión de artículos sobre asuntos independientes agrupados por temas específicos.

En el primer bloque, sucesivos capítulos hablan del exterminio físico sistemático de los colonizados inciado por Cristóbal Colón en la zona del Caribe desde el descubrimiento y continuado por parte de los españoles; sigue con la descripción de la aniquilación de los indios en Estados Unidos y de los aborígenes en Australia hasta fechas muy recientes.

El segundo bloque desarrolla en dos breves capítulos la trata de esclavos en Occidente, recordando sus antiguos orígenes; durante más de mil años los africanos han practicado el tráfico de esclavos a través del Sáhara, si bien el comercio atlántico estima en catorce millones los negros llegados al Nuevo Mundo. En el sur de Estados Unidos las consecuencias de la situación de los esclavos llegan hasta hoy y sigue abierto en ese país el debate de las compensaciones.

El tercer bloque sobre las formas de dominación colonial en diferentes épocas, escenarios geográficos y contextos políticos, económicos y sociales, está organizado en epígrafes por continentes; abren las Américas con la dominación española y portuguesa, la Guyana Francesa y Haití. El epígrafe de Asia incluye colonialismos no europeos, como el ruso en el Caúcaso y el japonés, así como la acción de los holandeses en sus indias, pero con un protagonismo y un mayor espacio dedicado a la India británica y la Indochina francesa.

El epígrafe de Africa incluye desde colonizaciones propias del continente como la ejercida por los árabes en Zanzíbar, el Congo Belga, la colonización portuguesa, francesa y británica en el África negra hasta la presencia francesa en Argelia y concluyendo con los procesos de descolonización en el continente.

A la luz de este libro, parece que la colonización fue obra en muchos casos de individuos emprendedores y sin escúpulos, o fue iniciada por compañías privadas de comerciantes (VOC en Indonesia, EIC en la India), pero pocas veces fue planificada de forma sistemática. Sorprende esta visión sobre todo en el caso de las Indias Británicas cuya conquista aparece como fruto de la suma de ambiciones comerciales individuales.

Las monarquías europeas, aunque impulsaron y animaron la empresa colonizadora, intentaron hasta el siglo XIX frenar los excesos de sus súbditos, si bien sus leyes fueron poco efectivas a tanta distancia.

Un breve bloque IV presenta someramente la situación de las mujeres colonizadas y cómo la dominación condujo en muchas ocasiones a empeorarla; el V desarrolla la vertiente filosófica de la colonización, las teorías sobre el racismo y superioridad, sus bases filosóficas y su aplicación, la negritud y el anticolonialismo, así como las representaciones artísticas del colonialismo en el cine, el arte y la música.

De forma temprana surge la protesta interna, desde Las Casas en la América española, considerado precursor de los derechos humanos por su defensa de los indios. Sin embargo, en el siglo XIX, con la emergencia de los estados-nación y la difusión de las ideas liberales y burguesas, la situación cambia, y los europeos justifican su expansión aludiendo a su misión civilizadora: debían imponerla por todo el planeta a pesar de las resistencias que encontraran y utilizando todos los medios.

Las justificaciones racistas y el desprecio por las civilizaciones no europeas son la base ideológica de los medios de control y dominio europeo. Como se ve en estos ultimos capítulos, los negros han sido las principales víctimas de los prejuicios racistas por parte de los blancos y los que más han sufrido con la colonización; la ideología de la Negritud debe ayudarles a recuperar su dignidad perdida frente al blanco.

La Iglesia es mencionada someramente durante toda la obra, con su cambiante actitud y diversificada participación en los procesos colonizadores: en la América española surge tempranamente un grupo de teólogos que defiende la limitación de los abusos y la expansión pacífica de la colonización y de la religión católica. A pesar de proteger a los indios contra la esclavitud, siguió tolerando la de los negros durante mucho tiempo.

El epílogo de conlusión no aporta respuestas al tema de las compensaciones, pero sí incide en la importancia del reconocimiento público de los hechos por parte de instituciones internacionales y nacionales.

Esta lista de los excesos del colonialismo, de la ideología colonialista, de su falta de humanidad analiza no sólo su puesta en práctica sino las razones de su continuación en el siglo XXI bajo nuevas formas.

Valoración personal

La ambición de la obra tanto desde el punto de vista geográfico como cronológico es para mí un aspecto favorable; el punto de vista diverso que aporta dando voz a los sometidos es interesante y prometedor y las intenciones explicitadas en el prólogo son loables.

Los testimonios y textos includos en la obra nos han parecido apropiados, bien escogidos y nada manidos; la bibliografía extensísima, variada, cuidada, muy correcta y frecuentemente citada, si bien es en su mayoría francófona, salvo el anexo del traductor.

A pesar de que la historia, el cine y la literatura se hayan hecho eco ampliamente de la brutalidad con la que los colonizadores extendieron su dominio por el mundo hay algunos hechos que nos han sorprendido especialmente entre los que se mencionan en esta obra; el episodio que narra el suicidio en 1906 en Bali de sus habitantes ante los holandeses, la crueldad de los franceses, adalides de los derechos humanos, en Tonkin y de los soldados belgas en el Congo; la duración hasta hace pocos años de la represión de los aborígenes en Australia.

Abordé la lectura de esta obra con mucho interés por la temática, por mi afinidad ideológica con el autor, por mi gusto por la forma de abordar las materias de la escuela de Annales, pero solo se cubrieron en parte mis expectativas. Debo señalar algunas omisiones notables y difíciles de entender como la de Oceanía, concretamente la Polinesia francesa y sus colonias actuales.

Hubieramos deseado un mayor equilibrio en el tratamiento de los temas, en cuanto a su extensión, intensidad y profundidad. Una exposición más ordenada habría hecho de la obra una lectura menos amena, pero más rigurosa.

También echamos en falta la participación de un mayor número de autores de países colonizados: no hay ningún autor indio, ni amerindio, ni hispano, ni asiático, ni magrebí y tan sólo dos no franceses. Asimismo encontramos el tema relativo a las mujeres bastante incompleto.

La obra hubiera estado mejor terminada con más mapas (sólo hay tres) y con testimonios fotográficos.

Nos parece una obra digna de lectura pero a pesar de su envergadura deja muchas lagunas y en mi caso ganas de profundizar en algunos temas y capítulos, fundamentalmente el de las mujeres y la esclavitud.

Para utilizar en clase: los textos incluidos en el libro.

Para leer más sobre historia y colonias
Biografía y obra del autor